La CSU signifie que toutes les personnes reçoivent les services de santé dont elles ont besoin tout en veillant à ce que l’utilisation de ces services ne les expose pas à des difficultés financières (OMS, ODD 2015). L’équité est donc inhérente à la poursuite de la CSU. Cependant dans le contexte africain les populations vulnérables ont du mal à accéder aux soins de santé. De plus, pour le financement de la CSU, de nombreux pays à faible revenu restent dépendants de l’aide internationale. Pourtant jusqu’à présent peu d’États africains satisfont aux objectifs de la Déclaration d’Abuja visant à allouer 15 pour cent des investissements publics au secteur de la santé.
Seront abordés dans cette session les sujets tels que l’équité dans le financement de la CSU au niveau international et international, les opportunités de financement pour les pays, les écueils à l’équité dans le financement de la CSU, mais aussi l’équité dans l’accès aux soins surtout pour les populations vulnérables.
Chairs
- M. Ibrahima Cheikh DIONG, Sous-Secrétaire Général Nations-Unies, Directeur Général de The African Risk Capacity (ARC)
- Dr. Prosper TUMUSIIME, Ancien directeur, Couverture sanitaire universelle – Cycle de vie à l’OMS AFRO (Ouganda)
Keynote
- Dr Matshidiso MOETI, Directrice Régionale du Bureau régional de l’OMS pour l’Afrique
Panélistes
- Mme Zainab AHMED, Ministre fédéral des Finances, du Budget et du Plan du Nigéria (à confirmer)
- Mme Aïssatou CISSE, Ministre Conseiller auprès du Président de la République (Sénégal)
- Pr Cato T. LAURENCIN, Professeur à l’Université du Connecticut, Directeur général du Connecticut Convergence Institute for Translation in Regenerative Engineering (USA)
- Dr Denis BROUN, Directeur d’Empower Suisse